Le pavillon Lefebvre repose en partie sur des pilotis. Ses murs-rideaux offrent une vue sur la montagne et l’oratoire à l’avant, et sur la ville à l’arrière.
Le pavillon Lefebvre est un bâtiment étroit avec une structure en béton. D’une conception architecturale minimaliste, il ne présente aucune ornementation.
L’élévation principale du pavillon Lionel-Groulx, donnant sur la rue Jean-Brillant. Ses façades se caractérisent par l’emploi de briques brunes et par leur sobriété, à l’instar des autres bâtiments du secteur.
Le fini épuré du pavillon médical (M) contraste avec le calcaire brut du pavillon Hersey et ce qui reste de l’aile ouest de l’édifice d’origine conçus par l’architecte Henry Saxon Snell (aile L).
Une nouvelle passerelle surélevée de trois étages relie le pavillon médical (M) au bâtiment administratif, remplaçant celle que Snell avait réalisée à l’époque au même endroit.
Le pavillon médical reprend les idées qui ont présidé quatre ans plutôt à la conception du pavillon chirurgical, notamment le plan en « piste de course » qui distribue les chambres des patients au pourtour d’un espace central dédié aux salles d’opération.
Élévations latérale gauche et principale du pavillon Marcelle-Coutu. Ce pavillon est prend place dans un ensemble construit comprenant le pavillon Jean-Coutu et, au centre, l’agora Morrice et Rosalind Goodman.
Agrandissement nord du pavillon (1925). Le bâtiment répond avant tout à des critères pratiques, sans lien apparent avec son emplacement près de la montagne.
Avec ses 16 étages, le pavillon McIntyre des sciences médicales et bibliothèque Osler s’intègre dans son environnement où l’on retrouve plusieurs bâtiments construits en hauteur.
Le pavillon pour les Petits Chanteurs du Mont-Royal est situé en contrebas de l’Oratoire Saint-Joseph sur un terrain gazonné où se trouvent plusieurs arbres matures. Cet environnement évoque son passé de villa.
Avec son fronton central, sa symétrie et son parement clair, la façade du collège puise dans le vocabulaire architectural classique afin d’affirmer le prestige de l’institution.
L’impressionnante façade du pavillon Ross Memorial (R), évoquant un grand hôtel des compagnies ferroviaires, vise à attirer une nouvelle clientèle de patients montréalais fortunés qui payent les frais de leur séjour à l’hôpital.
Le pavillon Ross Memorial et le pavillon des Femmes, sont reliés au reste de l’Hôpital Royal Victoria par des passerelles et des corridors souterrains. Une passerelle couverte (en bas à droite sur la photo), relie le pavillon Ross à celui du Centenaire.
Le pavillon Roger-Gaudry domine le campus de l’Université de Montréal, ainsi que le secteur de la ville où il se trouve, faisant de l’institution un important point de repère.
À l’ouest, une entrée a été aménagée au niveau du septième étage du bâtiment permettant l’accès au complexe hospitalier depuis le stationnement du pavillon Ross Memorial ( R ).
Les édifices ajoutés durant l’après-guerre possèdent des façades qui se caractérisent notamment par un motif de fenêtres répétitif et un fini lisse du calcaire.
D’étroits espaces résiduels sont aujourd’hui situés derrière le bâtiment administratif. Ils son le résultat des nombreux ajouts depuis l’ouverture de l’hôpital.
Une partie de l’élévation latérale droite du pavillon Samuel-Bronfman. L’emploi de la brique brune favorise l’intégration du bâtiment aux autres se trouvant autour de la place Laurentienne.
Élévation latérale droite du pavillon Samuel-Bronfman. Un espace a été laissé libre de construction au sol, afin de permettre la circulation automobile entre la partie ouest du campus et son centre, par le chemin de la Tour.
Détail d’une élévation du pavillon Thérèse-Casgrain. Les éléments en béton courbe servent de pare-soleil et donnent au bâtiment divers aspects selon le point de vue du visiteur.
Malgré ses fonctions techniques, l’architecture de la chaufferie datant de 1900 évoque les élégants hôtels particuliers, les châteaux écossais et l’Université McGill, à proximité.
Aujourd’hui, les camions, les rambardes métalliques et les tuyaux d’échappement occupent la périphérie de la chaufferie conçue par l’architecte Andrew Taylor et cachent largement la façade latérale de composition remarquable de ce bâtiment technique.